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- Informatisation locale |
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- Mise en réseau interne de toute ou partie du fonds |
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- Ouverture à des populations externes : filiales, distributeurs, prestataires… |
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L’évolution des techniques de réseaux Intranet et Internet a accéléré le processus de diffusion des documents pour le plus grand nombre, auparavant diffusés avec beaucoup de précautions.
Initier un projet d'informatisation d'un fonds documentaire, c’est évidemment définir au préalable ses besoins. Cette étape passe par une évaluation du dimensionnement du projet au niveau de l’entreprise.
L’évolution des techniques nous fait déjà prendre en compte des nouveaux types de documents, complémentaires à l’image traditionnelle : fichiers de prise de vue numériques, transparents, fichiers de photogravure, appuis visuels, etc...
Parallèlement à ce "renforcement" du domaine de compétence de la "photothèque", il faut observer l'élargissement des domaines pris en compte par les systèmes de gestion globale de l'entreprise, les ERP. Pour le moment, ces systèmes ne traitent pas ce type d'objets : les images et autres éléments pré-presse. Mais il ne serait pas étonnant que cette couche "métier" ne soit pas prise en compte comme c'est de plus en plus le cas pour d'autres activités, même s'il n'est pour le moment pas rentable pour les éditeurs d'investir dans des niches fonctionnellement encore trop spécifiques.
On voit donc l'intérêt à élaborer une vision globale de la production d’éléments documentaires et à mettre à disposition de chaque entité intervenant en tant que producteur et utilisateur d’éléments documentaires de tout type un patrimoine commun prêt à être réutilisé et amorti.
Si la gestion globale du patrimoine documentaire est synonyme de rationalisation et peut-être d’économie d’échelle, elle ne doit pas en revanche signifier une complexification des systèmes.
copyright Daniel Hennemand
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