Archive pour le mot-clef ‘photothèque’

Quels souhaits photographiques pour 2016?

Samedi 2 janvier 2016

De la création?
Oui, c’est bien ça, la création. Avec une âme et des idées, n’importe quel appareil, l’auteur pourra toujours construire un imaginaire, rendre compte de soi et des autres et avancer. Un même espace, une même vie, mais avec l’amour et la passion de l’image, tout est à recommencer.

Balloon Dog, the fake!

Balloon Dog, the fake! Cadeau de Noël, tirelire pastiche de l'œuvre de JeffKoons ***

La technologie?
Peu importe! Des petits appareils, des gros, des sophistiqués pour se faire remarquer, des éventuellement pour téléphoner… On sait depuis la publication du petit livre bleu de Chase Jarvis, que le meilleur appareil est celui que vous avez sur vous*.

Le partage?
Oui, oui, partageons ; au bénéfice des plates-formes qui aspirent nos forces. La machine continue à nous séduire. Nous sommes des photocapteurs, nous rendons compte bénévolement de l’état du monde. Tout de même, sûrement impossible maintenant de s’en passer.

La sécurité des données?
Je veux bien mais il y a peu d’espoir. On amasse des brouettes numériques sans se poser un peu pour en tirer le meilleur… On conserve dans un coin de disque dur en attendant un gros plantage. Le seul sauvetage possible, un album photo fièrement offert pour les fêtes ; vous l’avez fait au moins? Le reste passera dans les poubelles du futur. Ou alors confiez-vous à Facebook, Apple, Google, Amazon. Déportez vos documents! Avec des ordinateurs sans connectique, juste un port Ethernet pour la salvatrice connexion au monde. Dépendance et délocalisation de vos données sont les deux mamelles de la nouvelle machine globale.

La documentation des images?
Alors là, c’est le désert, la Bérézina, le Radeau de La Méduse. Indiquer le quiquoiquandoù nécessaire à la compréhension et à la pérennité des images relève de l’utopie. Le grand public? Non pas et les professionnels ne pratiquent toujours pas l’intégration des métadonnées aux images. Mêmes les institutions inaugurent des sites en proposant des fichiers muets**. L’utilisateur télécharge donc des documents anonymes au sens hypothétique sans ayants droit.

Tout ceci me fait un peu douter de l’évolution des bonnes pratiques, mais c’est sûrement générationnel… Parlons en ensemble si vous le vous voulez.

Toutefois le doute ne m’empêchera pas de vous souhaiter une excellente année photographique 2016.

* The best camera is the one that’s with you – iPhone photography, Chase Jarvis, New Riders, 2010 – lien

** Exemple 2015, École nationale des ponts et chaussées – lien

*** Rétrospective Jeff Koons, Paris 2015 -  lien

Daniel Hennemand, v1.4

Gérer ses photos numériques Gestion de photothèque

Indexation participative d’une photographie

Mardi 22 septembre 2015

Cohérence et pérennité des métadonnées d’une image

En sollicitant la solidarité des différents acteurs du cycle de vie de l’image photographique, de la production à la diffusion, et en explicitant le rôle des métadonnées dans l’enregistrement des images numériques, nous pouvons espérer optimiser la qualité de l’indexation, fiabiliser le traitement juridique et éradiquer définitivement la diffusion et le stockage de fichiers anonymes et muets.

Indexation participative d’une photographie par metadatas

Indexation participative d’une photographie - Illustration Daniel Hennemand

L’idée d’une indexation participative

En traitant du problème de l’indexation d’une image, non pas isolément par phase et par métier, mais dans sa globalité, c’est-à-dire en appréhendant son cycle de vie, il apparaît logique d’envisager la participation à l’indexation de chaque acteur contribuant à la production du document puisque les outils utilisés sont communs ou compatibles. Si chaque métier est spécifique, l’idée que chacun puisse apporter sa pierre à l’édifice fait son chemin. La chaîne de production doit cumuler les interventions de chacun ; l’objet numérique final doit être riche des connaissances de chaque contributeur. Pour commencer, le photographe, car il peut programmer son boîtier et enregistrer son crédit photographique – obligatoire et normalisé -. Le photographe encore, mais dans son rôle de développeur-retoucheur dans la phase de post-production, car il est présent sur le lieu de prise-de-vue et peut identifier l’événement et les personnes présentes; l’outil de développement lui offre la possibilité d’intervenir sur les métadonnées et de saisir ces informations. Pour la date de prise de vue, le boîtier l’enregistre automatiquement.  L’iconographe, quant à lui, saura par son expertise sémantique faire fructifier et enrichir ces données, les corriger et les compléter en pleine cohérence avec la charte documentaire du fonds et de l’entreprise.

Urgence de l’identification

La seconde idée est d’éviter le stockage de fichiers dépourvus d’information, d’identifier au plus vite – à la source  – l’objet numérique car il sera ensuite transformé, copié et sauvegardé plusieurs fois par les différents intervenants : le photographe,  les différents services de communication, les rédactions, etc (voir illustration). Nous connaissons tous le cas des sélections envoyées en urgence à la presse, en parallèle à la chaîne de traitement habituelle, avant la livraison du reportage à la photothèque. Ces fichiers peuvent communiqués alors qu’aucune information n’a été intégrée, ce qui lors de leur exploitation ou réutilisation peut engendrer des erreurs de crédit photographique ou d’interprétation – constitution de fonds d’avatars anonymes -. Chaque fichier doit donc au plus vite contenir un minimum de données certifiées avant toute diffusion.

Des outils compatibles

Pour finir, parlons des outils. En amont, les créateurs utilisent Adobe Lightroom – ou équivalents -, l’iconographe peut adopter facilement Adobe Bridge, visionneuse fiable et compatible avec Lightroom au niveau des métadonnées et de l’ergonomie. Puis évidemment les logiciels de gestion de photothèques, très performants aujourd’hui qui doivent assurer la compatibilité de traitement des métadonnées, tant à l’importation – récupération des champs titre, description, mots clefs, date de prise de vue, copyright – qu’à l’exportation car ils constituent le coeur de la gestion et de l’indexation des images. Le logiciel doit donc restituer l’enrichissement documentaire réalisé dans son sein pour le diffuser en toute sécurité vers les utilisateurs sous forme d’objets numériques riches en métadonnées.


Daniel Hennemand, v1.3

(réédition d’un article de mars 2013)

Gérer ses photos numériques Gestion de photothèque

Photothèque sans pilote

Lundi 12 janvier 2015

Contribuer efficacement à l'enrichissement d'une photothèque pour satisfaire les utilisateurs. Illustration Daniel Hennemand

Mettre en place une photothèque centralisée dans l’entreprise nécessite une réflexion préalable pour en définir la vocation et le fonctionnement. Réalisé en interne ou avec l’aide d’un consultant, l’incontournable cahier des charges saura définir les sources susceptibles d’enrichir ce nouveau creuset, les applications concernées c’est-à-dire les futurs clients internes ou externes et en conséquence la typologie des objets hébergés et partagés.
Cette étape de définition des besoins devient la portion congrue des projets, les ressources et les besoins sont mal définis et les types d’objets mis à disposition sont souvent inadéquats. Lire le reste de cet article »

Photothèque en ligne : une histoire de fichiers

Lundi 24 février 2014

Fontaine Walace en cours de réfection recouverte de peinture au minium, Paris - Photo Daniel Hennemand

Petit rappel de cohérence nécessaire des images numériques mises à la disposition des usagers des photothèques ou des médiathèques d’entreprises.
On peut distinguer trois grandes catégories de fichiers images, photographies ou illustrations en général :
- Les fichiers natifs de prise de vue ou des arts graphiques
- Les fichiers destinés à l’édition/impression offset
- Les fichiers destinés au web et à la bureautique
Un des avantages de la constitution d’un fonds de documents numériques est leur (ré)utilisation par le plus grand nombre. Les utilisateurs peuvent trouver des illustrations en recherchant et en récupérant des objets avec toutes les garanties requises en termes documentaire (bonne version d’un produit), technique (fichier techniquement exploitable), juridique (garantie du bon droit à utiliser ce fichier pour un type d’exploitation) et esthétique (vue sous l’angle le plus valorisant).
Dans le contexte d’une médiathèque, il est de coutume de ne pas mettre à disposition des fichiers natifs car impropres à l’utilisation par le plus grand nombre; la plupart des utilisateurs ne possèdent  pas les logiciels adéquats. Pour autant, certains services d’édition ou de communication requièrent des fichiers haut de gamme ou techniquement sophistiqués (comportant des calques par exemple). Il faut donc définir les profils utilisateurs et les applications possibles de ces fichiers partagés; quels fichiers pour quels besoins? L’adage « Qui peut le plus peut le moins » n’est pas toujours valable dans ce contexte; il est certain qu’un fichier lourd au format .tif en quatre couleurs risque de désorienter un collaborateur en quête de visuels pour une présentation PowerPoint.
1- Les fichiers natifs de prise de vue ou des arts graphiques
Prise de vue :
Un boîtier standard professionnel génère des images définies par trois couleurs primaires : le rouge, le vert et le bleu.
Aujourd’hui, l’équivalent d’un appareil 24×36 délivre nativement des fichiers d’environ 35 Mo. en plusieurs standards possibles :
- Raw, c’est-à-dire le format d’enregistrement du capteur du boîtier; chaque constructeur possède un standard propriétaire. Ils délivrent des fichiers que l’on peut appeler, par analogie avec l’argentique, des « négatifs », propres à être développés; interprétables en post-production où ses caractéristiques sont modifiées : température de couleur, luminosité, contraste, masquage, révélation des lumières dans les zones sombres, etc. Les fichiers au standard Raw représentent donc des états numériques avant traitement et ne sont pas à partager dans une médiathèque. Ils sont la propriété du créateur de l’image qui saura éventuellement fournir à la demande de nouvelles interprétations.
- Tif : format généré jusqu’alors par les boîtiers, sans compression de données donc sans dégradation, utilisable par les utilisateurs de logiciels de retouche tel Adobe Photoshop. Ils peuvent intégrer des calques utiles à la retouche et au détourage.
- Jpg : format universel compressé; le propre de ce standard mis au point pour véhiculer et diffuser sur les réseaux des images à des poids moindre. La compression équivaut à une dégradation et celle-ci doit être minimale. Ce taux de compression doit être connu en phase d’exploitation (forte/faible). Une forte compression provoque la production de fichiers de faible poids mais de qualité médiocre. Ce défaut apparaît rarement à l’écran où l’image est toujours belle, cela se révèle en revanche à l’impression.
Studio arts graphiques : hors modélisation 3D , en création et retouche, les designers utilisent principalement deux logiciels : Adobe Photoshop et Adobe Illustrator.
  • Photoshop interprète et génère des images dites bitmap (définies point par point) pour la retouche des photographies ou du dessin à main levée. La qualité d’un visuel dépend des dimensions et de la résolution du fichier. Lors de l’évolution du logiciel, Adobe a intégré des couches vectorielles de travail. L’extension d’Adobe Photoshop est « .psd ».
  • Illustrator permet la création de figures en tracés, l’image n’est pas constituée d’une suite de points, mais créée à partir de courbes mathématiques; formes sophistiquées au-delà du trait, du carré ou du rond, jusqu’au dessin. La définition de ces fichiers ne dépend pas du taux d’agrandissement. Illustrator permet le traçage autour d’une forme, intéressant pour « détourer » un objet photographié que l’on souhaite extraire de son décor originel (ôter le fond) pour pouvoir le replacer dans un nouveau décors. L’extension d’Adobe Illustrator est « .ai », on rend les fichiers universels et réutilisables par d’autres logiciels en le convertissant en « .eps » « Encapsuled Postcript ». Ce format est tout à fait indiqué pour la fabrication des plans et schémas techniques.
2- Les fichiers destinés à l’édition/impression offset
En fait, tous les formats sont acceptables puisque les designers possèdent à la fois les outils cités plus haut et le savoir-faire. Les formats suivants peuvent donc être communiqués à un studio : .ai; .eps; .tif; psd.
Rappelons qu’un fichier image est défini par trois caractéristiques dont deux suffisent à déduire la troisième : le poids en octets, les dimensions en pixels et la résolution en point par pouce (dpi), c’est à dire le nombre de points définissant l’image sur une distance fixée par la norme (dot per inch / 2,54 cm). Plus la résolution est importante (150, 300, 400), plus la définition sera grande. La norme en offset exige encore aujourd’hui une résolution de 300 dpi. Pour une impression dite à jet d’encre une résolution de 200 suffit et l’impression de bâches grands formats peut se satisfaire d’une résolution de 120 dpi.
Rappelons cependant qu’à ce niveau intervient une phase importante de conversion des fichiers pour les rendre imprimables par les techniques offset; il s’agit de la conversion de trois couleurs (fichiers issus de la prise de vue) en quatre couleurs (jaune, magenta, cyan, noir; CMJN ou en anglais CMYK)), « couches » primaires requises pour l’impression offset en quatre passes.
La conversion est délicate, autrefois assurée par des spécialistes (photograveurs), mais assumée aujourd’hui par tous les utilisateurs de Photoshop; évolution délicate mais inévitable.
La palette 4 couleurs étant restreinte par rapport à celle de l’univers 3 couleurs, il y a dégradation lors de la conversion, là où beaucoup de nuances d’une même couleurs sont requises; on parlait d’interprétation du chromiste; convertir un bleu de prise de vue en un ton imprimable en offset.
L’opération inverse est délicate. Un bleu photographique fait de trois couleurs primaires est converti en quatre couleurs imprimables, mais le retour aux trois couleurs, indispensables à l’affichage écran Web, devient scabreux sans référentiel colorimétrique (valeur de comparaison), dix bleus RVB possibles à partir d’un seul bleu CMJN. La conversion en trois couleurs n’attribue pas nécessairement le ton dans la zone d’origine. Diffuser des fichiers quatre couleurs en vue de conversion par des utilisateurs non aguerris rend possible des dérives colorimétriques, ce qui peut être gênant pour le rendu d’un produit ou un logo. De plus les latitudes en redimensionnement sont limitées (+70%/-30%).
La solution est de constituer dans la mesure du possible un fonds cohérent de fichiers trois couleurs qui pourront être convertis au besoin en quatre couleurs et si possible jamais dans le sens inverse par des néophytes.
3- Les fichiers destinés au web et à la bureautique
Les fichiers destinés à l’affichage écran pour le Web ou aux applications telles que PowerPoint ou Word requièrent des poids de fichiers moindre.
Les standards imposés pour l’écran sont le .jpg pour la photographie avec une palette de plusieurs millions de couleurs pour les afficher, et le .gif pour les schémas et autres aplats avec une palette de 256 nuances maximum.
Pondération
Le rôle d’une médiathèque est de centraliser des éléments certifiés (documentaire, technique, juridique et esthétique) destinés à des usages multiples. Nous avons vu que ces utilisations requéraient des fichiers aux caractéristiques différentes. Il faut donc à la fois recenser ces usages et décider des caractéristiques communes de fichiers les plus universels possibles. Un des avantages des solutions de médiathèques est de générer à la demande lors du téléchargement des fichiers adéquats. L’utilisateur déclare sont intention en termes d’applications; le système en déduit quelles caractéristiques le fichier exporté doit posséder (impression, affichage écran, etc.).
Pour l’impression offset => le fichier le plus performant disponible avec une résolution de 300 dpi; pour une application web, un fichier de quelques méga octets suffit à 72 dpi.
Les appellations anciennes sont « haute définition » pour le premier cas et « basse définition » pour le second, mais pour bien les utiliser, il ne faut pas se limiter au poids, car il ne détermine ni la résolution, ni l’univers colorimétrique (3C ou 4C).
- Fichiers photographiques universelles pour des applications de communication :
Standard : .jpg,
Taux de compression : minimal / « qualité maximale » dans Photoshop
Résolution : 300 dpi
Poids : 24 Mo. pour couvrir un A4. Les 35 Mo. natifs des capteurs actuels permet un recadrage
Univers colorimétrique : 3 couleurs RVB
- Fichiers détourés
Standard : .gif ou .tif
Résolution : 300 dpi
Poids : variable selon application
Univers colorimétrique : suivant le mode de création
Daniel Hennemand
v1.2

Gérer ses photos numériques

Meilleurs vœux pour cette nouvelle année 2014

Vendredi 27 décembre 2013
Cimaise en contre-plongée, 2012, MAC/VAL Musée d'art contemporain du Val-de-Marne, Vitry-sur-Seine

Cimaise en contre-plongée, 2012, MAC/VAL Musée d'art contemporain du Val-de-Marne, Vitry-sur-Seine

Fusion de deux photothèques d’entreprises

Mercredi 17 juillet 2013

Fusion de deux fonds photographiques d'entreprises - Illustration Daniel Hennemand

Lors d’une nouvelle session de formation en gestion de photothèque*, nous avons pu traiter un cas intéressant de projet de fusion de deux fonds photographiques de deux entreprises d’un même secteur d’activités, la première venant de racheter la seconde.
Cette formation, est toujours articulée en quatre parties :
  • Qu’est-ce qu’un projet?
  • La production,
  • La gestion,
  • La diffusion,
Nous avons pu en deux jours nous poser les questions particulièrement pertinentes dans un cas typique de refonte.
De toutes évidences, les traditions sont différentes d’une entreprise à l’autre et d’un pays à l’autre.
L’une des entreprises utilise une solution de gestion de photothèque d’un éditeur privé, la seconde avait préféré développer une solution en interne!
Les typologies, même pour des métiers semblables, les modes d’alimentation, d’indexation et de diffusions sont différents. Pourtant, tout doit être fait pour que cette réunion de moyens et de patrimoines soit un succès.
L’orientation actuelle laisse à penser qu’aucun des outils de gestion d’images en place ne sera retenu, une bonne occasion pour revoir les processus de production, de gestion et de partage :
  • Etude du contrat liant l’entreprise à l’éditeur en place pour la bonne récupération des actifs.
  • Expertise sémantique des fonds (pertinence, obsolescence).
  • Analyse et refonte des plans de classement.
  • Adaptation et fusion des thesaurus.
  • Récupération des existants : qualité des documents numérisés et des originaux numériques jusqu’ici exploités, localisation des originaux, évaluation des pourcentages opérationnels, coût.
  • Qualité des indexations existantes.
  • Homogénéité du traitement juridique des éléments en ligne, renégociation des contrats avec les photographes identifiés.
  • Définition des caractéristiques des fichiers à produire et à proposer à la diffusion (poids, standards, dimensions, taux de compression)?
  • Mise en place de nouvelles procédures de gestion contributive (indexation participative).
  • Automatisation de l’enrichissement en métadonnées des objets intégrés à la photothèque.
  • Processus et garantie de sauvegarde.
Ces questions techniques ne sauraient être traitées avant la réalisation d’une étude des besoins car les traditions et les ressources d’une entreprise à l’autre sont différentes. La fusion révèlera au niveau de la communication par l’image des besoins nouveaux, des ressources internes ou sous-traitées avec de nouveaux budgets. Entre autre, la décision d’intégrer ou non les équipements d’hébergement et logiciel devrait dépendre de la réponse du nouveau service informatique qui semble vouloir imposer un standard particulier; s’orientera-t-il vers un développement spécifique? Le haut niveau des solutions locatives actuelles devrait pourtant les séduire.
Daniel Hennemand, v1.2
* Comment gérer sa photothèque, session de 2 jours

Conférences du Forum Pro-Images 2013

Mercredi 26 juin 2013
Présentations / appuis visuels des conférences du FORUM PRO Images
des 24 & 25 juin 2013 au Parc de Bercy à Paris
Si vous souhaitez recevoir l’une d’entre elles, merci de me contacter.
Daniel Hennemand

Indexation participative d’une photographie

Mardi 12 mars 2013

Cohérence et pérennité des métadonnées d’une image
En sollicitant la solidarité des différents acteurs du cycle de vie de l’image photographique, de la production à la diffusion, et en explicitant le rôle des métadonnées dans l’enregistrement des images numériques, nous pouvons espérer optimiser la qualité de l’indexation, fiabiliser le traitement juridique et éradiquer définitivement la diffusion et le stockage de fichiers anonymes et muets.
Indexation participative d’une photographie par metadatas

Indexation participative d’une photographie - Illustration Daniel Hennemand

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Photographes et photothèques, pour un échange productif

Lundi 10 décembre 2012
Sollicités régulièrement pour définir les besoins des responsables de photothèques vis-à-vis des photographes, nous avons rédiger un mini cahier des charges technique et organisationnel afin de faciliter la transmission des photographies pour leur bonne exploitation dans les photothèques d’entreprises. Voici un extrait de ces conseils.

Sélection d'un reportage et saisie d'information dans les champs de métadonnées à l'aide d'Adobe Bridge - Œuvre de Pierre Malphettes, L'arbre et le lierre, 2010, Mac/Val musée d'art contemporain du Val de Marne

[Nouvelle formation] : Comment optimiser la photothèque d’entreprise

Vendredi 23 novembre 2012
Après plusieurs années de fonctionnement, un service dédié à la gestion de l’image photographique doit faire face à la fois à l’évolution des demandes des utilisateurs, à l’émergence de nouvelles techniques et aux transformations des processus car l’équipe même est intégrée dans une entreprise en constante évolution.
Décider de l’optimisation des activités d’une photothèque, c’est se donner les moyens d’expertiser les différentes facettes de son métier, particulièrement la qualité de l’offre iconographique en termes d’actualisation, d’esthétique, de documentation et de certification juridique. C’est accepter l’idée d’une appréciation et parfois de la validation des performances par les décideurs, les collaborateurs et les partenaires fournisseurs d’images ou utilisateurs. C’est enfin démontrer la rentabilité d’une telle activité en favorisant la réutilisation de visuels existants.

Une enseigne près de la grande poste à Paris - Photo : Daniel Hennemand, 2012 - Graffiti : Clet Abraham ©Clet

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