Archive pour décembre 2012
Galerie miniature et richesse photographique
Samedi 22 décembre 2012Notre noyade permanente dans l’imagerie quotidienne peut être combattue par une approche sereine des maîtres du passé ou contemporains, mais aimer la photographie, est-ce la posséder?
Depuis cette semaine, je pense que c’est possible. Grace au conseil d’une amie photographe, j’ai rendu visite à Emmanuelle Fructus, galeriste dans le onzième arrondissement à Paris.
Photographes et photothèques, pour un échange productif
Lundi 10 décembre 2012Sollicités régulièrement pour définir les besoins des responsables de photothèques vis-à-vis des photographes, nous avons rédiger un mini cahier des charges technique et organisationnel afin de faciliter la transmission des photographies pour leur bonne exploitation dans les photothèques d’entreprises. Voici un extrait de ces conseils.
De la volatilité des objets numériques
Jeudi 6 décembre 2012Deux lectures cette semaine évoquant la pérennité des documents numériques montrent encore une fois que la fermeté des affirmations est inversement proportionnelle à la certitude que l’on peut avoir sur un sujet.
Un premier article dans la revue « Sciences et Vie » donne des conseils de sauvegarde des images pour le grand public; des choix de matériels et de méthodes. Comme toujours, la lecture nous laisse dans une grande incertitude. Nous avons le choix d’hésiter entre des solutions plus ou moins défaillantes ou trop récentes pour être réputées fiables.
Le seconde évoque le colloque international « Révolution numérique, et si le cinéma perdait la mémoire ? » où Serge Tubiana se montre inquiet sur la préservation des films désormais tournés en numérique. La solution apparemment est celle que m’assenait il y a quinze ans un ami des Archives Nationales, faire des transferts argentiques.
Tout ceci est traité le plus honnêtement du monde, mais les orientations prises semblent plus être liées à l’angoisse d’une catastrophe possible qu’à la perception de la réalité numérique. Ne faut-il pas reconnaitre notre impuissance à adopter une politique claire puisque aucune certitude ne s’offre à nous? Ce monde nous pousse à l’empirisme, sans trop de connaissance et sans certitude.