Une annonce* comme on aimerait plus en lire. Faut-il en rire ou en pleurer ?
Cela tourne à l’anthropophagie sociale, les uns mangent les autres.
Demande-t-on à cette personne si elle désire travailler gratuitement ?
Cette évolution des comportements est un début de licence sociale. Est-il permis dorénavant de voler ?
Pourtant, chacun se méfie, chacun glose ou s’offusque de l’hégémonie des éditeurs mondiaux, seuls capables d’offrir ces services gratuitement.
Si nous parlions de déontologie …
On nous alerte à juste titre sur les offres abusives de stages pratiquement non rémunérés émises par de grands groupes du luxe, on ferait bien de nous mettre tout autant en garde contre certains professionnels, en quête systématique de gratuité.