Cher Monsieur,
Merci pour votre intervention à l’université Descartes, hier soir. Je me permets de vous faire part de quelques remarques à ce propos en vous priant d’excuser la longueur de ce courrier. Il me semble que la crise du photojournalisme peut s’expliquer entre autres par deux phénomènes qui ne sont pas prêts de disparaître : la surproduction et la facilité de diffusion. Lire le reste de cet article »